Louis MASCART (1892-1919)

Louis MASCART est né à Onnaing, au domicile de ses parents situé Rue du Petit-Quesnoy, le 1 février 1892. Frère de Léon, il est lui aussi le fils légitime de Léon MASCART et de Philomène DOYE. Mes ancêtres communs avec lui sont Hierosme MASCART et Marie MARTIN (mes sosas n° 1282 et 1283), un couple originaire de Quarouble (Nord).

Acte de naissance de Louis Mascart issu des Archives Départementales
Acte de naissance de Louis
(Source: Archives Départementales du Nord)

En 1906, il est aide traceur chez Barbier et Cie, et vit avec sa mère Rue Fontaine, à Onnaing, son père étant décédé depuis le 29 novembre 1899.

Les établissement Barbier à Onnaing sur une carte postale ancienne
Les établissement Barbier à Onnaing
(Source: Archives Municipales de Valenciennes)

Il porte le matricule 1688 de la classe de 1912 pour le bureau de Valenciennes. Il est incorporé au sein du 147e Régiment d’Infanterie le 8 octobre 1913, dans le cadre du service militaire et arrive à son régiment le même jour en tant que soldat de 2e classe, mais devient caporal le 27 septembre 1914. Le 5 décembre de la même année, il est blessé par un coup de feu à la cuisse gauche à La Gruerie, dans la Marne.

Le 25 mai 1916, il passe au 64e Régiment d’Infanterie, où il reste jusqu’au 14 février 1917, date à laquelle une décision ministérielle le détache aux Ateliers et Forges de Firminy où il est traceur en chaudronnerie. Quelques mois plus tard, le 1er juillet 1917, il est à nouveau transféré, cette fois vers le 86e Régiment d’Infanterie en application d’une décision ministérielle du 6 juin précédent, mais il reste détaché à l’usine de Firminy.

Les Fonderies de Firminy dans la Loire
Les Fonderies de Firminy (Loire)

Louis MASCART passe ensuite successivement par le 97e Régiment d’Infanterie (23 mai 1918) et le 137e Régiment d’Infanterie (18 juin 1918). Il est mort pour la France le 15 janvier 1919 à l'hôpital Chastaingt de Limoges (dans la Vienne) suite à des blessures de guerre.

Fiche Mort pour la France de Louis Mascart
Louis, mort pour la France
(source: Mémoire des Hommes)